Sur les 20 cimetières que compte Durban au Kwazulu-Natal, deux seulement disposent de quelques places. En 1998 on enterrait 500 personnes par an, en 2004 on enterre 500 personnes par semaine. Les morts sont jeunes, souvent de moins de 35 ans. Le Kwazulu-Natal est l’une des plus touchées par l’épidémie VIH/sida. Pour faire face aux besoins, il faudrait un changement d’attitude des familles : accepter de faire incinérer leurs défunts ou bien accepter des fosses où l’on met deux cercueils l’un au-dessus de l’autre source Southscan
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