Pour la Journée des Droits humains, en commémoration du massacre de Sharpeville (21 mars 1960), le Cosatu rappelle que les ouvriers agricoles restent les travailleurs les plus vulnérables, dont les droits les plus élémentaires continuent à être bafoués. Mal payés, souvent maltraités par des employeurs sans pitié, leur sort est maintenant partagés par les immigrants venus du Zimbabwe qui espèrent en traversant la frontière, le plus souvent illégalement, échapper à la faim et à la pauvreté. Ces immigrants sont aussi victimes de la xénophobie qui fait d’eux des bouc émissaires faciles pour la pauvreté et le chômage qui sévit toujours dans les zones rurales sud-africaines. Source Cosatu
© RENAPAS
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