Cette loi interdit à tout citoyen Sud-africain une activité d’agent de sécurité dans une zone de conflit sans l’autorisation du gouvernement. Elle est l’objet de vives critiques car, dans l’état, cette loi interdit à un sud africain de travailler pour une agence des Nations unies, ou pour une mission humanitaire. De plus la définition de " zone de conflit " et de " mouvements de libération " est vague et reste à la discrétion du ministère de la défense. La question est cruciale pour les compagnies de sécurité qui opèrent en Iraq et emploient des citoyens sud-africains. Des amendements tenant compte de ces critiques seront soumis au Parlement rapidement. Source Business Day
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