Après la lettre envoyée par Lord Hain à Jean-Claude Juncker, Président de la commission européenne, c’est au tour de Neena Gill, porte parole du Parti travailliste pour l’économie, de demander, par une question écrite, à l’UE de revoir ses lois sur le blanchiment d’argent par ses propres institutions bancaires. « L’UE est le plus important partenaire commercial de l’Afrique du Sud, aussi une réponse ferme de l’UE serait prise au sérieux par le Président Zuma et la famille Gupta ». Elle demande aussi à la Commission de s’assurer que les cabinets d’audit, qui ont avalisé des comptes truqués dans les scandales des entreprises publiques sud-africaines et les sociétés appartenant aux Guptas ou à leurs amis, respectent les exigences éthiques en vigueur. La corruption sud-africaine trouve aussi un appui dans la tolérance des créditeurs européens.
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