La haute cour de justice de Pretoria vient de qualifier « d’irrationnelle » la décision d’abandonner les accusations de fraude et corruption dans l’affaire de l’achat d’armes par l’Afrique du Sud qui remonte à 1999. Le Président pourrait donc être jugé pour les 783 chefs d’accusation que l’ancien procureur avait décidé de na pas poursuivre au prétexte qu’il s’agissait d’une affaire politique. L’opposition a donc gagné sur ce point puisque le dossier peut être ouvert à nouveau, le président de son côté a pris acte de la décision de justice. Mais le président peut faire appel et le procureur de la république ne pas suivre la décision des juges. La longue saga du scandale « Arms Deal » n’est pas close.
© RENAPAS
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