Le ton monte ente Uber et les compagnies locales de taxis dans la ville du Cap. « Il nous vole notre pain ! » crient-elles et ne sont pas du tout convaincues par le nouvel amendement à la loi sur les transports qui exige des compagnies qui utilisent les nouvelles techniques électroniques comme Uber d’avoir une licence pour travailler. Plus de 4000 chauffeurs employés par Uber sillonnent les rues du Cap et certains à l’affut du client n’hésitent pas à mentir et affirmer qu’ils sont des taxis « normaux ». Les chauffeurs Uber s’aperçoivent qu’ils ne gagnent pas assez avec ce système et ils piratent les compagnies de taxis légalement autorisées. Ce que dément le porte-parole d’Uber qui affirme que la compagnie est prête a partagé ses services avec les autres taxis pour « augmenter leurs revenus ».
© RENAPAS
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