Plus de trois ans après le massacre de Marikana, les familles des mineurs morts et des blessés attendent toujours que des compensations financières leur soient versées. Les veuves n’ont plus aucune ressource autre que l’aide sociale et elles doivent assurer l’entretien des familles et des orphelins. Les avocats des familles espèrent qu’un accord pourrait intervenir rapidement sans avoir recours à de longues procédures judiciaires. Le porte parole du ministère de la justice a ouvert la perspective d’un règlement rapide en déclarant « la meilleure situation serait d’avoir une conversation à ce sujet au lieu d’avoir des batailles judiciaires qui n’en finissent pas ». Les familles souhaitent aussi pouvoir enfin reconstruire leur vie après ce drame. Lire Jacqueline Dérens : Les Voix des veuves de Marikana
© RENAPAS
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