Dans son rapport annuel Amnesty International relève quatre graves atteintes au droits humains en Afrique du Sud : la brutalité policière ; la violence contre les étrangers, l’intimidation envers la médiatrice et la lenteur de la mise place de la protection infantile et maternelle. Le Zimbabwe est aussi désigné pour la violence policière envers les opposants, violence allant jusqu’à la torture. Amnesty International pointe aussi du doigt l’Angola, le Mozambique et l’Afrique du Sud pour leur intolérance à la dissidence.
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© RENAPAS
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