Impala Platinum Mine emploie 20 000 personnes ; 10 000 hommes vivent dans des hostels, gigantesques camps, où parfois 16 mineurs partagent la même pièce. Quand les familles veulent les rejoindre, il n’y a pas d’autres solutions que de vivre dans des baraques sans eau, sans sanitaire, sans électricité. La compagnie n’a toujours pas de plan de lutte globale contre le vih/sida Récemment 5 travailleurs séropositifs se sont suicidés et un millier ont été licenciés parce qu’ils étaient trop malades. C’est pour dénoncer ces conditions de vie et exiger une politique cohérente de lutte contre le sida et l’accès gratuit aux traitements par les antirétroviraux que les mineurs avaient commencé une grève le 17 février dernier. Ils ont repris le travail en attendant le résultat des négociations entre la direction et les syndicats Source TAC
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