Le cas des 70 mercenaires sud-africains, détenus au Zimbabwe pour leur implication présumée dans un coup d’Etat en Guinée équatoriale, soulève de nombreuses questions juridiques. Les avocats de leurs familles ont porté cette affaire devant la cour constitutionnelle. L’Etat sud-africain a-t-il le devoir constitutionnel de protéger ses citoyens contre des violations des droits de l’Homme en dehors de son territoire, et la cour peut-elle intervenir dans les affaires étrangères qui sont du domaine de l’exécutif ? Deux questions fondamentales car ces hommes risquent la peine de mort à l’issue d’un procès qui risque d’être très expéditif...
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