Le dernier rapport sur le Développement humain fait apparaître un taux de prévalence de l’infection parmi les soldats bien supérieur à celui de la population civile. Les trois quarts des soldats démobilisés meurent dans l’année suivant leur retour à la vie civile.
Le gouvernement a débloqué des crédits pour l’achat d’anti-rétroviraux pour les établissements publics et un laboratoire local est prêt à fabriquer des médicaments génériques. Toutefois sur les 1,82 millions de malades, à peine la moitié pourront être traités.
Retrouvez cette brève sur la Toile : http://renapas.rezo.net/spip.php?breve18Retour à la page d'accueil du site RENAPAS
retour à la brève