C’est au début du printemps austral que les candidats au « matric » le diplôme de fin d’études secondaires vont passer les épreuves de cet examen aussi célèbre que notre « bac » en France. Même s’il a changé de nom et s’appelle désormais le NSC, toutes les familles sud-africaines qui ont des jeunes candidats sont dans tous leurs états jusqu’à l’attente des résultats de ce sésame qui ouvre, en théorie, les portes de l’université ou de l’entrée dans la vie active. Comme en France, la réalité est moins simple. Le nombre de places en université est limité et les frais de scolarité éloignent encore trop de jeunes méritants de l’enseignement supérieur. Quant à l’entrée dans la vie active, c’est un rêve inaccessible quand on sait que deux jeunes sur trois n’ont jamais travaillé. En attendant les résultats qui seront proclamés début janvier, 6735 centres d’examen vont accueillir les 688 660 candidats sous la vigilance de 65000 surveillants. Le Président Jacob Zuma a souhaité bonne chance aux candidats et a recommandé aux parents « de ne pas exercer trop de pression sur leurs enfants, mais de leur apporté soutien et encouragement ».
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