Tous ceux qui sont allés au Zimbabwe pour voir comment le pays se préparait aux élections du 31 mars sont unanimes pour déplorer l’apathie des électeurs pour des élections qui ne pourront êtres ni justes, ni libres. Les lois répressives bâillonnent la presse et l’opposition, les registres électoraux sont inaccessibles et les observateurs étrangers sont invités au compte-gouttes.
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